BOUCHE D’OMBRE


1996


Rivages/Noir n°255


PRIX MYSTÈRE DE LA CRITIQUE 1997

DANS LA PRESSE


Subtil et troublant, mené à son terme avec une parfaite maîtrise, servi par une écriture élégante et précise, Bouche d’ombre est une belle réussite. Et Pascal Dessaint, décidément, un des meilleurs auteurs français du moment.

Michel Abescat/LE MONDE


Pascal Dessaint aime gratter derrière les apparences pour faire apparaître les rouages humains, l’imbrication des choses. Les cadavres et ceux qui les sèment en deviennent sinon anecdotiques du moins le prétexte à explorer des lieux, des âmes, à démonter la mécanique des drames.

Pierre Challier/

LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE


Alors que Daniel, le psychopathe de “Bouche d’ombre”, est pétri d’une incommensurable laideur d’âme, Dessaint s’échine à mettre en lumière sa part de beauté.

Cédric Fabre/TÉLÉRAMA


Drame familial, le récit débouche sur une tragédie d’une noirceur peu commune. Une réussite.

Claude Mesplède/OPTIONS

En italien

Bocca d’ombra

Hobby and Work 2000

Première couverture