Le point de vue de l’éditeur


Sur une côte nordiste fantomatique, des hommes survivent au jour le jour, hantés par un passé mortifère. Mais qui sont ces laissés-pour-compte de notre époque, qui semblent camper dans un temps suspendu ? Des êtres qui, derrière l’apparence de normalité qu’ils essayent de préserver, ont été broyés ou souillés, à l’image de leur pays marqué par les stigmates d’une industrie lourde moribonde, et où la nature reprend ses droits, de plus en plus inquiétante.

LE CHEMIN

S’ARRÊTERA LÀ


Rivages Thriller 2015


RIVAGES/NOIR n°1010


PRIX JEAN AMILA-MECKERT 2015


PRIX SANG D’ENCRE 2015


PRIX RIVAGES DES LIBRAIRES 2016



DANS LA PRESSE


Un livre puissant.

Roger Martin/LA VIE NOUVELLE


Une profondeur qui évoque Zola.

François Joly/ LA TRIBUNE DE VIENNE


Le croisement improbable

entre Trailerpark de Russell Banks

et P’tit Quinquin de Bruno Dumont.

Philippe Manche/LE SOIR (Belgique)


Rude et plein d’humanité.

Jean-Noël Levavasseur/OUEST-FRANCE


Du bel ouvrage.

Michel Dargel/INTRAMUROS


Une vision lucide d’une France agonisante.

Si vous aimez le sable, les caravanes, Ken Loach.

LA PROVENCE


“Le chemin s’arrêtera là” conduit vers un précipice

et tout au fond il y a une fosse à serpents.

Alain Léauthier/MARIANNE


Le retour du ciel bleu n’est pas pour demain,

celui d’un grand écrivain, c’est maintenant.

Eric Libiot/L’EXPRESS

(12 polars à lire sans plus tarder)


Ce roman engagé est envoûtant.

Emmanuel Romer/LA CROIX


Petites gens, grand livre !

Pascal Busset/TV8 LAUSANNE


Une réussite littéraire éblouissante.

Yves  Gabay/ LA DÉPÊCHE DU MIDI


Pascal Dessaint contemple la beauté paradoxale

des lumières toxiques sur la lande et poursuit

sa mission de scribe du désenchantement.

Lionel Germain/SUD-OUEST


Pascal Dessaint explore les tréfonds de l’âme

humaine et offre une vision totalement

désenchantée de notre société qui oublie

ses plus fragiles au bord du chemin.

Jean-Paul Guéry / LE COURRIER DE L’OUEST


L’homme est un loup pour l’homme et Dessaint

joue les bergers. Sa langue, violemment poétique, nerveuse, fait des étincelles.

Marine de Tilly/LE POINT



Un dossier dans LE MONDE DES LIVRES

Jeudi 30 avril 2015